A la couleur sombre des mots blessants
je pose ma prose glaçant
des idées noires souvent
des sombres couleurs lassant
Des attentes à jamais venant
des douceurs des mots
qui se disent aimant
j’hurle la honte des mauvais jours
de mon cœurs tiraillant
je cours pleurant de mes aventures sombrant
à croire que le bonheur n’est l’heure
que des mots vivants
Je place, je tasse, j’encrasse
ma tête de farces à maux de mots
je pleure de peine douleurs atteignent
pour rire à la lutte des tiennes
et que le procès que je fasse
n’est pas si loin de la grasse
alors qu’esprit tu ne vis pas loin
plus fort que l’emprise vaine de sang
à cœurs blessant des mots absents
je ne survis pas mais subit mes attentes
même si joies et peines
ne sont que l’histoire des êtres vivants
alors j’hurle encore
pour au moins voir sans crainte
l’ignorance dégout des attentes
venant de larme à l’âme tranchante
j’accroche mon cœur
à ce porte manteau si haut
pour enfin me débarrasser de ce qui vaut
et me plonge enfin dans le cruel soir maudit
des sans espoirs enfin
pour que vive en paix
l’esprit de croire libre
à jamais autant qu’il y parait
la haine à ma main
aux souvenirs des douceurs éteints