Mal à l’âme
D’avoir surestimé le futur
Pour qu’il assure de l’azur
Aux petites filles sans voix
Que la loi ne connaît pas…
D’avoir cru sans démesure
A l’allure de l’écriture
Et voulu capturer la lecture…
Au-delà de la raison à suspendre
Pour la leçon à apprendre
Comme dans une cour de récré
La balle un jour t’a traversée…
Saignement d’une larme versée
Sur le monde lettré inversé
Pour l’enseignement tiré
Comme les traits sur un cahier
Jusqu’à la ligne tracée
Pour que s’élèvent les écoles
Et s’envolent les élèves…
Quand dans un sourire
Au présent de l’avenir
Grâce à toi elles pourront
Écrire lire et dire…
« Premier lundi au paradis
Malala »
les actes de courage ou héroïque ne sont malheureusement pas toujours médiatisés. j’ai une pensée particulière pour ceux dont on ne parle jamais. Aux oubliés, les plus grands héros des temps moderne.
Les actes si grands soient-ils, que l’on fait avec la raison pour les autres n’ont pas la même portée que lorsqu’on les fait par Amour avec les autres…
Et malheureusement parfois, il faut connaitre le piire pour qu’une dimension supérieure se mette en place…
Joli poème avec cette jeune femme Prix Nobel de la paix , l’école, l’instruction, apprendre, permet quand cela est enseigné ‘normalement’ une plus grande liberté à venir, une liberté déjà de penser et dans la situation de ces pays ce n’est pas anodin, cela devient il me semble essentiel.